..... Pour un séjour, assez inoubliable en République Dominicaine dans un ranch-écolodge d’élevage de chevaux d’allure destiné aux activités de plein air, raids, excursions, expéditions insolites. Safari photos, promenades équestres avec des chevaux de Paso.
 
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Elucubrations


"Si ton ennemi est dans l'eau jusqu'à la ceinture, tends-lui la main; si l'eau lui monte aux épaules, appuie sur sa tête."
(Proverbe espagnol)

Le responsable de la cavalcade, celui qui commandait tous les "vaqueros", ne peut s'empêcher de jouer une dernière fois le rhéteur, s'exprimant d'une manière quelque peu emphatique en racontant au groupe réunit pour l'ultime salutation d'adieu, une autre fable à propos de la nuit et sur ce qui aurait pu risquer de se passer pendant cette expédition équestre et cette fameuse lune pleine :
"Une divinité féminine, 'Astrolividolunar', de la 'Lune Livide', déesse de l’horreur, des tueurs psychopathes et des assassins, parcourait les montagnes à la recherche des loups les plus fous, les plus forts, les plus grands, les plus cruels, les plus féroces et les plus affamés pour les élever, les former et les dresser dans ses immenses et affreux chenils en métal ductile et très précieux. Elle leur apprenait à ne pas craindre les mauvais coups, à mordre sauvagement et à hurler si fort, que même les pierres les plus dures, résistantes et solides, tremblaient d'effroi et d'horreur aux nombreux harmoniques de leurs hurlements abominables. 'Astrolividolunar' avait des pouvoirs maléfiques qui lui permettaient de transformer aux premières lueurs du jour et à l'apparition d'un rayon de soleil, ses affreuses créatures tueuses en humain loup-garou. Ces 'lobos locos' (loups fous), étaient de véritables brutes très musclées à la peau épaisse en cuir si dure qu'aucune flèche, même celle de l'Archer Céleste Yi ne pouvait les tuer. Ces loups de la 'Lune Livide' avaient le revêtement extérieur de leur corps couvert d'un pelage dense, épais, obscur, très noir, de l'épaisseur d'une armure de noble chevalier capable d'arrêter la plus aiguisée des lames et de freiner les coups les plus redoutables et puissants qui soient. Leurs affreux gémissements de 'Lobos locos' avaient le pouvoir de glacer instantanément le sang des plus braves et de les pétrifier. Aucun être vivant censé n'avait la folie de leur faire face. Lors de ces nuits de pleine lune comme à présent, ces gigantesques loups de la taille d'un énorme boviné pouvaient attaquer et tuer instantanément une multitude de victimes. Fut un temps, où certains êtres humains hors pairs et très courageux se sont décidés à les chasser en employant un subterfuge emprunté à l'église catholique. Ils eurent l'idée de se protéger avec de l'eau rituellement sanctifiée et de les tuer avec une arme de duel à piston et canon cannelé, chargée uniquement par la gueule d'une balle en argent massif. Car ces monstres, infâmes créatures du Diable supposait-on, se reproduisaient rapidement et se répandaient vite à travers le monde des vivants au moyen de simples morsures. La malédiction survenait dès la première lune pleine, une fois que l'innocente victime se soit fait mordre sauvagement. Ensuite, elle s'employait à ressurgir de nouveau systématiquement à chaque apparition de l'astre de la nuit, lorsque celui-ci devenait plus rond et blanc que jamais dans l'espace céleste.
Al amanecer' (à l'aube), aux premières lueurs du jour, ces abominables 'Lobos locos' se transformaient en humain loup-garou et conservaient malgré tout et bien malgré eux, certaines caractéristiques effroyables et détestables de ces créatures infernales des chenils de la 'Lune Livide' qu'elles avaient été pendant la nuit. Par exemple, les oreilles étaient implantées plus bas et en arrière sur la tête, les sourcils avaient tendance à se rejoindre au dessus du nez, la voix était éraillée, très rauque, mal timbrée, d'une curieuse consistance tellement étrange qu'elle donnait à penser qu'elle paraissait intermédiaire entre liquide et solide. La bouche avait la langue rugueuse, sans humidité naturelle, très sèche, plus ou moins acide. Les yeux à l'expression schizophrénique, profondément enfoncés dans le crâne, y étaient insérés à un niveau élevé peu ordinaire. Quant aux ongles, ils étaient sensiblement plus rougeâtres avec comme curiosité, celui du majeur très long et ils apparaissaient généralement sous d'épais poils disséminés un peu partout sur les doigts et même sur le dos des mains. Afin d'éviter la propagation de la thérianthropie ou lycanthropie, la légende disait qu'il suffisait d'enfermer l'humain loup-garou à chaque pleine lune, dans une cage bénite aux très solides barreaux d'argent. Espace clos, bien cadenassé par une serrure mobile munie d'un arceau en métal précieux destiné à passer dans des pistons fermés, eux aussi en argent massif. On pouvait pareillement professait-on, chasser l'esprit démoniaque de la cruelle et horrible créature atteinte de cette psychopathie meurtrière par exorcisation et peut-être ainsi, lui sauver la vie.
Quant à survivre soi-même,
il fallait paraît-il, la toucher obligatoirement en plein cœur d'une balle en argent tirée impérativement avec une arme de duel à piston et canon cannelé, chargée par la gueule. Pour le cas, où aucune arme de ce genre ne soit à portée de main, on pouvait disait-on, en dépit de cette absence, parvenir malgré tout, à terrasser cette abominable créature diabolique avec un long pieu précieux en transperçant son cœur de part en part. Mais il fallait là aussi, que la lame soit en pur vermeil et bénie impérativement un Vendredi Saint, au nom de l'époux de la princesse Floribanne, fille de Dagobert, comte de Louvain. On peut faire la connaissance de ce noble héritier du duché d'Aquitaine, issu probablement de la haute aristocratie franque et passionné de chasse, au Palais d'Austrasie à Metz ou de Neustrie à Paris voire à Soissons sur la planète Terre. D'ailleurs ce duc, probablement apparenté aux Pépinides, proche de Pépin de Herstal et époux de Floribanne, serait connu comme le Saint Patron des chasseurs et désigné sous le nom de 'Saint Hubert'. En effet, la légende rapporte que ne pouvant résister à sa passion de la chasse, un Vendredi Saint justement, sans personne pour l'accompagner, il entendit soudain une voix dans le ciel s'adresser à lui en ces termes :
'- Va donc à Maastricht, auprès de mon évêque Lambert évangélisateur du diocèse de Tongres-Maastricht et convertis-toi. Fais pénitence de tes péchés ainsi qu'il te sera enseigné et cesse de poursuivre les bêtes dans les forêts. C'est ce que tu dois promettre !...'
Tenant sa promesse donnée à la voix dans le ciel, c'est ainsi qu'il devint 'Saint Hubert'. La bénédiction de la lame en argent recouverte d'or, du fameux pieu qui devra transpercer le cœur de la bête immonde est indispensable, tient-on pour vrai. Car le monstre sanguinaire ne supporte absolument pas et déteste par dessus tout l'argent, de surcroît béni. Cela provoquerait chez lui, d'atroces et insoutenables brûlures d'estomac".

D'emblée, quelqu'un parle alors tout à coup, d'une bien étrange légende racontée certains soirs de pleine lune... Il reprend tant bien que mal, son souffle et d'une voix agitée par la crainte, angoissée, très inquiète et reflétant une peur intense, commence son récit étrange et fantastique :
"- Au village de Nisibon, celui qui est tout proche du ranch, se retrouvaient toutes les belles sorcières de la grande île. Toutes ces femmes, très jeunes et magnifiques avaient l'habitude lorsque l'astre était bien rond et lumineux dans l'espace céleste, de danser complètement nues sous sa froide illumination. On avait tendance à dire, qu'elles passaient volontiers des accords avec le Diable (Hacer pacto con Diablo), à qui elles donnaient de petits surnoms, tels : 'Mi corazón', 'Mi amor', 'Mi seductor', 'Mi vida', en dansant diablement la bachata et le meringue, juste éclairées par la blafarde clarté lunaire. On disait aussi, que si elles rencontraient un très bel homme marchant sur les pistes de la grande cordillère orientale (Cordillera Oriental), jamais elles ne manquaient de lui faire des farces, comme par exemple, celle de le faire marcher durant des heures et pendant des jours et des jours, pour arriver nulle part...! Il pouvait advenir aussi, qu'elles lui indiquent sciemment, une sente qui le conduisait très loin, vraiment loin, vers les grandes lagunes, beaucoup plus au nord, tout au bord de l'océan. Selon ce très curieux mythe elles feraient et déferaient les amitiés sous le regard de la lune. Les mariages seraient arrangés dès la naissance par un personnage mythique appelé 'El viejecito bajo la luna', en fait, leur géniteur à toutes. Elles s'uniraient à la pleine lune pour faire la fête car ces soirs là seraient dit-on, très propices aux entreprises les plus romanesques. Même les hommes sérieux, rigoureux, austères, sévères et prudes n'échapperaient pas à l'atmosphère magique de cette grande fête. La légende veut qu'un célèbre chanteur, dont chacun se plaît à taire le nom et dont la vie est riche en anecdotes romanesques, ait entendu une de ces fameuses nuits de réjouissances, alors qu'il se trouvait à une terrasse de bar, identique à celle de l'estaminet rencontré précédemment en début de nuit, une musique très typique et merveilleuse provenant du palais lunaire. Il mémorisa aisément la mélodie et la transcrivit aussitôt arrivé chez lui. Ce serait, croit-on, l'origine d'un célèbre morceau de musique dominicaine (Merengue) au titre : 'La fuerza del corazón'. On peut d'ailleurs encore l'écouter aujourd'hui dans n'importe quel bar des environs et surtout lors de pleines lunes. Ces jeunes et très belles sorcières, selon une vieille tradition connue de la société rurale, partiraient juste avant de faire la fête, dans les champs alentours et les potagers les plus obscurs pour arracher à tâtons un plant de gingembre. Les vertus aphrodisiaques de cette plante vivace originaire d'Asie, en plus de ses nombreuses qualités médicinales, augureraient particulièrement favorablement de l'avenir libidinal de tout individu et optimiserait grandement sa sexualité".
L'homme à l'histoire, semblait maintenant libéré de son angoisse précédente concernant la narration de cette légende locale bien curieuse et paraissait fier à présent d'avoir réussit à la conter sans trop devoir se retourner à tout instant en direction du village et sans avoir, semblait-il, grande inquiétude sur son propre sort. Puis, comme par hasard, quelqu'un d'autre, peut-être pour détendre l'atmosphère et rassurer l'auditoire attentif. Certainement pour continuer sur le thème de la fête et des entreprises romanesques. Aussi, assurément pour amuser la galerie avant d'aller dormir quelques heures, se plût à chantonner une petite comptine grivoise de Alexis Piron :
"Ce petit air badin, ce transport soudain marque un mauvais dessin. Tout ce train me lasse à la fin : De dessus mon sein retirez cette main. Que fait l'autre avec les pieds ? Vous essayez de passer le genou : Êtes vous fou ? Voulez vous bien finir et vous tenir ! Il arrivera, monsieur, un malheur. Ah ! C'est trop s'oublier ! Je vais crier... Tout me manque à la fois, et force et voix...En entrant, avez vous tiré du moins sur vous les verrous ?" 
Naturellement, dans la foulée, un autre randonneur éprouva aussi le besoin d'enchaîner dans le même état d'esprit que son prédécesseur, avec le fameux refrain, "O gué lan la" , qui fut très connu d'après lui, il y a environ deux siècles de cela. C'était aussi manière de ne pas se séparer de suite, surtout après tout ce qu'ils avaient vécu, tous ensemble durant cette insolite escapade d'une journée complète si intense et si bien remplit :
"Une jeune nonnette en s'éveillant, du haut de sa chambrette vit, dans un champ, un garçon qui jouait gaiement d'un bel instrument long comme cela … O gué lan la lanlair, o gué lan la. Se mit à la fenêtre le regardant, puis d'un air très honnête va demandant : 'Beau garçon, dites franchement quel est l'instrument dont vous jouez là ? O gué lan la, etc. Vous jouez d'un air tendre qui me plaît tant ! Je voudrais bien l'apprendre tout promptement; Ce serait grand contentement pour tout le couvent de savoir cela.' O gué lan la, etc. Regardant la pucelle fort tendrement et, la voyant si belle, dit en riant : 'Descendez car mon instrument, quoi qu'il soit bien grand, n'atteindra pas là.' O gué lan la, etc, Ne se fit point attendre, vint promptement. D'abord il lui fit prendre son instrument. Et joua si parfaitement, si gaillardement, dès ce moment là... O gué lan la, etc. Cette chanson finie trop brusquement, notre nonne jolie dit doucement : 'J'en aurai joué plus longtemps.' puis elle fit tant qu'il recommença O gué lan la, etc. Voyant quelqu'un paraître, la pauvre enfant remercia son maître en lui disant : 'N'oubliez donc pas le couvent. Revenez souvent : on étudiera.' O gué lan la, etc."

Dans la Lune Chinoise vivait le Lièvre apothicaire Mingji qui fabriquait la liqueur d’immortalité. Un jour, l'archer Yi (Houyi, Yiyi ou Pingyi), obtint un peu de cette liqueur en récompense de ses services. Il venait en effet d'abattre neuf des dix soleils qui menaçaient de brûler la Terre. Mais Heng-ngo (Heng-E ou Chang'E), son épouse, vraiment désireuse de goûter à l'immortalité, en but secrètement lors de l'absence de celui-ci. Découverte par son mari, Chang'E (Heng-O, Chang-O ou Chang-Ngo), se réfugia dans la Lune pour échapper à sa colère. Comme son époux la poursuivait encore, elle demanda de l’aide au Lièvre qui combattit Yi (Houyi), et réussit à le faire renoncer. Depuis, Chang'E habite la Lune dans un palais de jade nommé "Vaste froidure" avec pour seuls compagnons Wugang (l'apprenti immortel) et le lièvre Mingji, appelé aussi "Lièvre de Jade" assisté selon certains d'un crapaud à trois pattes.

Otofuku serait la divinité de la Bonne Humeur et de la Gaité, mais serait aussi très connue pour avoir aidé les Dieux à ramener la lumière sur Terre, au moyen d'une danse érotique.

A SUIVRE :

 

 


 
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