..... Pour un séjour, assez inoubliable en République Dominicaine dans un ranch-écolodge d’élevage de chevaux d’allure destiné aux activités de plein air, raids, excursions, expéditions insolites. Safari photos, promenades équestres avec des chevaux de Paso.
 
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Divagations


"Ce que nous faisons dans la vie, résonne dans l'Éternité..."

"Los pájaros de la noche se quedaron en su casa; mucho llovía a la mitad de la noche Cuando las nubes negras se fueron, los pájaros estuvieron revoloteando, tal vez veían al conejo en la Luna Yo pude contemplar a los pájaros de la noche y también al conejo en la Luna."
(Les oiseaux de nuit sont restés chez eux ; il a beaucoup plu au milieu de la nuit. Quand les nuages sombres sont partis, les oiseaux se sont mis à voleter, peut-être ont-ils aperçu le lapin dans la lune ? Moi j'ai pu contempler les oiseaux de nuit et aussi le lapin dans la lune.) - Divagation mexicaine de Miguel León-Portilla, d'après une poésie Náhuatl du peuple aztèque.

Bientôt la piste s'élargit perceptiblement, le revêtement de terre battue et de pierres coralliennes parait à présent, s'être tassé progressivement aux influences des nombreux et habituels passages de véhicules de tous poids et en tous genres, d'animaux divers et de courageux marcheurs. Le chemin devenait plus plat, damé, lissé, praticable, plus confortable que précédemment. L'atmosphère plus bleuté, mieux ardoisé, est à présent différent, curieux, propice à quantité de délires extrêmes. La couche gazeuse qui enveloppe la terre, paraissait s'être épaissit, opacifiée. Les ombres alimentées par la clarté blafarde de l'astre céleste naturel supposé exercer une influence néfaste sur la vie des hommes, sont devenues maintenant très étirées, nettement plus allongées, étendues, difformes et deviennent par construction plus ou moins chimérique de l'esprit, d'immenses tentacules incontrôlables de monstres fictifs penchés au dessus des cavaliers. Les visions utopiques, les perceptions imaginaires sont à présent surréalistes, très étranges, fantasmagoriques, inquiétantes et deviennent hallucinatoires. Ces zones sombres parfois interceptées des rayons lunaires par le feuillage des arbres bordant le chemin, paraissent étudier d'une manière horrible et mouvante la tératogenèse des branches perçues à présent, comme des êtres congénitalement mal formés, fabuleux, étonnants et imaginaires de légendes. Mirages et illusions éphémères de contes tant rapportés par les anciens, viennent polluer les comportements et les idées. Accès inconscient de chaque cavalier au domaine du merveilleux où tous les faits sont transformés par l'invention poétique ou l'imagination populaire.
Dans cet étrange contexte,l'esprit accède rapidement à tous les délires et notamment à la légende de "l'Homme-Lune" qui avait deux femmes. Chacune de ses épouses, lui ayant donné un garçon. Un jour, les deux adolescents partirent pêcher sur ordre de leur père qui avait très grande faim et qui par ailleurs, avait envoyé précédemment ses deux femmes cueillir des racines et des baies pour enfin manger quelque chose. Les deux enfants allèrent sur la lagune, mais malheureusement ne trouvèrent aucun poisson. Dépités, la tête basse, ils s'apprêtaient à rentrer bredouilles à la pauvre vieille masure familiale, lorsqu'ils aperçurent tout proche, un canard siffleur qu'ils réussirent à attraper. Comme eux aussi, étaient particulièrement affamés, ils décidèrent de faire du feu et de le manger de suite. De toute façon, personne ne leur avait demandé de rapporter à la misérable maison du gibier, mais uniquement du poisson, que du poisson ! Ainsi, ils décidèrent qu'ils allaient déguster le canard et ne rien dire à leur père. Après avoir fini leur repas, ils rentrèrent et dirent à leur créateur qui souhaitait connaître le résultat de la pêche, que hélas, ils n'avaient rien pu prendre. Mais, le vieux remarqua de la graisse de canard sur les doigts de ses deux garçons. Bien entendu, il leur demanda suspicieux, d'où cela pouvait provenir. Craignant une terrible punition, les deux gamins refusèrent d'avouer qu'ils avaient attrapé un canard et bien entendu, d'admettre qu'ils l'avaient mangé. Furieux, parce que lui aussi très disetteux, le vieil homme indigent mit ses deux fils dans un sac qu'il noua et chargea dans une barque. Après avoir longtemps ramé pour enfin arriver au milieu de la lagune, il jeta le lourd contenant bien fermé par dessus bord. De retour à la misérable baraque, ses deux femmes qui étaient revenues, l'interrogèrent pour savoir où étaient passés leurs garçons. Ne sachant trop quoi répondre, il leur dit qu'ils venaient de partir chasser et qu'ils seraient certainement de retour ce soir. Ne rentrant toujours pas, bien que très tard, les deux femmes eurent alors des soupçons. Elles entreprirent de suivre les traces encore visibles du lourd sac traîné jusqu'au bord de l'eau par leur mari. Aussitôt, les deux mères comprirent l'atrocité du drame survenu quelques temps auparavant. Ivres de tristesse profonde, de douleur insoutenable et de rage violente provoquées par la disparition si horrible de leurs enfants, elles mirent le feu à la chambre où dormait le géniteur des deux garçons, dans un état terrible de fureur et avec une effroyable joie. L'énorme jouissance procurée en entendant les hurlement de douleur du supplicié qui brûlait jusqu'à mourir d'une manière monstrueuse, n'empêchèrent toutefois pas les deux femmes malveillantes de voir, horrifiées, le corps de l'homme brûlé revenir à la vie sous forme d'un croissant lumineux qui devint lentement une sphère parfaitement ronde pour s'élever ensuite dans les cieux. Puis, là haut au ciel, le père des garçons très en colère contre ses deux femmes si méchantes et si cruelles, annonça que désormais tout l'ensemble du monde créé mourrait pour ne plus jamais revivre. Par contre lui, ne serait mort que trois jours par mois et reviendrait toujours à la vie. C'est pourquoi selon la légende, chaque pleine lune, on nomme l'astre céleste de la nuit : "l'homme-lune". Chez certains peuples, nombre d'autochtones expliquent les marques foncées aperçues parfois au milieu du disque lunaire, comme étant les cicatrices du supplicié brûlé dans sa misérable masure par ses deux femmes accablées.

Un jour, un Dieu descendit sur terre en prenant l'apparence d'un homme affamé." ... - Dit alors, un cavalier qui continua aussitôt son récit pour le groupe attentif :
"Cet homme qui en fait était un Dieu, se rendit dans une forêt afin de tester la capacité des animaux à vivre dans les bois. Tous ceux qui étaient présents ramenèrent de la nourriture au Dieu qui se faisait passer pour un mendiant. Le singe ramena des fruits en grimpant dans les arbres. L'ours des poissons qu'il avait pêché dans la rivière. Les oiseaux des insectes et des vers qu'ils offrirent aussitôt à l'affamé. Tous, avaient de quoi nourrir l'humain. Seul, le lapin malgré ses nombreuses tentatives désespérées ne put présenter aucun aliment, n'ayant pas les capacités suffisantes et nécessaires pour trouver de la nourriture. Pourtant, ce dernier, voulait vraiment venir en aide au pauvre affamé qui semblait souffrir énormément. Tous les autres animaux présents se moquaient maintenant de ce lapin si incapable à venir en aide à l'homme criant famine. Alors, le lapin dépité et très attristé, demanda à ce qu'on allume un grand brasier pour se jeter dedans et ainsi offrir sa propre chair, afin que le pauvre mendiant puisse la manger et ainsi calmer sa faim. L'homme qui était réellement un Dieu, très impressionné et ému par cette attitude, dans une immense gratitude d'Être suprême, sauva la vie du lapin et le récompensa aussitôt en l'envoyant habiter sur la lune. Depuis cet évènement, on verrait à ce qu'il paraît, le dessin d'un lapin sur la face de l'astre lunaire ! C'est du moins ce qu'affirment les japonnais en fêtant la pleine lune, chaque année, le quinzième jour du huitième mois lunaire. Coutume de Tsukimi se rapportant à la vieille tradition japonnaise de se réunir lors d'une fête afin de regarder la lune des récoltes. Cet usage ancestral serait originaire de la période "Heian" (paix en japonnais), considérée comme étant l'apogée de la cour impériale et de l'aristocratie japonnaise. On se rassemblait en effet, sous la pleine lune du calendrier luni-solaire pour réciter des poèmes."

Petit silence général après tous ces fascinants récits. Puis un des cavaliers du groupe, se souvenant miraculeusement d'un mythe japonnais sur la lune, totalement subjugué par ce qui venait d'être conté se mit alors à parler d'une voix légèrement alcoolisée de la légende "Tsuki-Yomi", le Dieu de la Lune. Alors, le groupe ralentit l'allure pour mieux écouter le narrateur éméché. Chacun se resserra autour de l'homme à cheval. Soudain tous, très attentif à ce mythe japonnais qui allait être narré. Récit symbolique au Japon, concernant l'astre de la nuit les illuminant en ce moment sur cette longue piste empierrée et absolument déserte au beau milieu de la campagne dominicaine :
"Tsuki-Yomi, vivait avec sa sœur Amaterasu, Déesse du Soleil, dans le ciel. Un jour, elle envoya son frère en ambassadeur auprès de Uke-mochi, Déesse de la nourriture, pour participer à un grand et merveilleux banquet. Mais, lorsque le Dieu de la lune constata que la nourriture qui lui était servi provenait seulement de la bouche et du nez de la Déesse, cela le dégoûta tellement qu'il tua sur le champ cette dernière. Extrêmement fâchée contre lui, la Déesse du soleil Amaterasu ne voulut plus jamais le revoir. Dès lors, le frère et la sœur vivent en alternance dans le ciel. Ce qui explique la succession du jour et de la nuit."
Il faut savoir, continua le narrateur à la bouche empâtée que cette fratrie seraient en fait, deux kami, enfants de Izanagi Dieu créateur du monde. Izagani, leur aurait donné naissance en prenant son
bain pour nettoyer ses pêchés et en se lavant l'œil droit. Mais d'autres disent qu'ils seraient plutôt nés d'un miroir que le Dieu tenait dans sa main droite après avoir pris son bain pour se purifier. Dans la lancée et très en verve, le conteur de cette extraordinaire légende, précisa avec force détails :
"Izagani et sa sœur épouse Izanami, sont les descendants de divinités primordiales asexuées qui auraient engendrés selon la cosmogonie japonaise une multitude de Kami du Ciel et de la Terre dont, Tsuki -Yomi , le Dieu lunaire et sa sœur Amaterasu, la Déesse du Soleil. Associé au calendrier primitif, la fonction principale de Tsuki (Lune) -Yomi (compter), serait de compter les mois qui passent, d'avoir le pouvoir de contrôler le défilement du temps et d'illuminer l'obscurité." .

La cavalerie a ralenti considérablement le pas et chacun maintenant, semblent être perdu dans de très personnelles et profondes réflexions après ce qui vient d'être dit. C'est le moment choisit alors, par un autre escorteur dominicain, légèrement ivre lui aussi, pour conter une légende Aztèque très connue et que l'on raconte encore paraît-il, au Mexique :
"Coatlicue, Diosa de la tierra, es la madre de Coyolxauhqui, Diosa de la Luna, y 400 divinidades estelares. Un día, mientras que Coatlicue rezaba, una bola de plumas cayó misteriosamente del Cielo sobre su pecho. Se percibió poco después que era embarazada. Indignado por este embarazo sospechoso, Coyolxauhqui, la chica de la Diosa de la Tierra, empujó a sus hermanos a matar a su madre. Mientras que estaban a punto de perpetrar su crimen, estuvieron totalmente sorprendidos por Huitzilopochtli que acababa de nacer totalmente armado y quien representa el sol que triunfa a su zenit. El Dios echó las estrellas en el Cielo, y decapitó a su hermana. Esta leyenda simboliza particularmente la victoria del Sol sobre la Luna, las estrellas, y las tinieblas, que desaparecen del Cielo cada mañana".
(Coatlicue, Déesse de la terre, est la mère de Coyolxauhqui, Déesse de la Lune, et des 400 divinités stellaires. Un jour, alors que Coatlicue était en prière, une boule de plumes tomba mystérieusement du Ciel sur sa poitrine. Elle s’aperçut peu après qu’elle était enceinte. Indignée par cette grossesse suspecte, Coyolxauhqui, la fille de la Déesse de la Terre, poussa ses frères à tuer leur mère. Alors qu’ils s’apprêtaient à perpétrer leur crime, ils furent tous surpris par le Dieu Huitzilopochtli qui venait de naître tout armé et qui représentait le soleil triomphant à son zénith. Le Dieu chassa les étoiles dans le Ciel, et décapita sa sœur. Cette légende symbolise notamment la victoire du Soleil sur la Lune, les étoiles, et les ténèbres, qui disparaissent du Ciel chaque matin).
Naturellement, pour ne pas être en reste, et conserver un certain degré d'estime auprès de son auditoire, "El Loco" , silencieux jusqu'à présent, mais très à l'écoute depuis le début de leur retour vers le ranch, décida alors, de conter un fameux mythe Inca (peut-être la seule légende qu'il connaissait), concernant la déesse mère Mama Quilla :
"En el momento  del diluvio cataclísmico, Viracocha, el Dios Creativo, surge del lago Titicaca y creó Inti, el Sol, luego Quilla, la Luna y a continuación Chaska, las estrellas. Quilla siguió en el Cielo el trayecto de su hermano y esposo, Inti.
Quilla,
Reina de la noche, se asegura del buen evolución del tiempo. Mama Quilla es también la madre del primer inca, Manco Capacaussi y también se habría vuelto la protectora de las mujeres casadas."
(Lors d’un déluge cataclysmique,  Viracocha, le Dieu Créateur, surgit du lac Titicaca et créa Inti, le Soleil , puis Quilla, la Lune et ensuite Chaska, les étoiles. Quilla suivit dans le Ciel le parcours de son frère et époux, Inti.
Quilla,
Reine de la nuit, s'assure du bon déroulement du temps. Mama Quilla est aussi la mère du premier inca, Manco Capacaussi et serait aussi devenue la protectrice des femmes mariées.)

A mesure de la progression de la cavalerie et de celle délirante des narrateurs, la piste élargit devenait plus praticable et commode à parcourir. On percevait au premier coup d'œil, certains repères, puis de nombreux petits détails, annonçant l'approche d'un territoire connu. Ce fut ce moment justement que choisit l'un des vaqueros pour évoquer ce que l'on aimait beaucoup encore raconter dans les tous proches environs :
"Dans la région des grandes lagunes de Nisibon, vivait un homme si peu patient qu'il voulait absolument voir les jeunes plants de riz pousser à vue d'œil dans ses rizières. Un jour il eut une idée : il entra dans le terrain où le riz était cultivé, saisit chaque plant l'un après l'autre pour les tirer légèrement de terre. Puis, harassé par sa curieuse besogne, il rentra chez lui et dit aux siens : '- Quel travail ! J'en suis tout moulu ! Mais les plants de riz ont bien poussé.'
(¡Qué trabajo! ¡Soy muy molido! Pero los plantones de arroz crecieron bien).
Un de ses fils , incrédule, s'en fut voir... Hélas ! déjà les pauvres plants commençaient à se flétrir. Conclusion : Trouver inutile de biner ses champs et laisser les plants sans soins est certainement une erreur, mais s'ingénier à les faire pousser en les tirant de terre est un travail non seulement inutile mais de plus, très nuisible ! ".
Ce petit récit ne reçu aucun tonnerre d'applaudissements, mais son succès engendra tout de même, beaucoup de réflexion de la part de tout l'auditoire devenu soudain très songeur, mais qui désirait savoir à tout prix, qui était donc cet homme si pressé et où étaient ses rizières à Nisibon. Aussitôt bien sûr, un autre cavalier récita un petit poème de Nicolas Guillén à propos de l'île voisine de Cuba, afin de modifier l'atmosphère devenu soudain surchauffé d'influences indiscrètes :
"Por el Mar de las Antillas (que también Caribe llaman) batida por olas duras y ornada de espumas blandas, bajo el sol que la persigue y el viento que la rechaza, cantando a lágrima viva navega Cuba en su mapa : un largo lagarto verde, con ojos de piedra y agua."
(Dans la mer des Antilles
(Qu'on nomme aussi Caraïbe) fouettée de violentes vagues et ornée de blanche écume, sous le soleil qui la persécute et le vent qui la repousse, chantant à chaudes larmes Cuba navigue sur sa carte : un long crocodile vert aux yeux d'eau et de pierre).

"El narrador" qui semblait quant à lui, avoir maintenant récupéré de ses abus au bar, mais ne paraissait par contre toujours pas avoir oublié sa jolie conquête nocturne, se mit alors à baratiner :
"Si la ves pregúntale que siente, si aún le queda algo de ese amor que nos unió, si la encuentras algo indiferente, éntrala en razón y hazme este favor. Háblale, insístele que nos han hecho daño, que todo es mentira. Dile que la quiero, que siempre fui sincero, dile que me estoy volviendo loco por una tontería. Dile que navego entre entre el amor y el miedo, dile que me está matando esta melancolía. Dile, que la quiero. Dile, que soy sincero. Dile, dile que me está matando, esta melancolía. Si la ves recuérdale que tiene de par en par las puertas de mi corazón. Dile que mis lágrimas no entienden por qué no está conmigo en esta habitación Háblale, insístele que nos han hecho daño, que todo es mentira. Dile que la quiero..."

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